Books - Biodiversité

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  kajiala, Tattali, Djerkabaara : Valoriser les produits pour mieux les conserver

  01/09/2014 Micheline Baptiste

   L’ouvrage est une compilation des expériences de gestion des filières de plusieurs produits forestiers ligneux et non ligneux dans deux pays africains, le Niger et le Mali, et à Madagascar. Il défend l’idée que seule la valorisation des ressources naturelles renouvelables peut protéger les écosystèmes forestiers de ces pays, dans le contexte de décentralisation des Etats. La valorisation des produits forestiers ligneux (bois d’œuvre, charbon de bois, etc.) et non ligneux (huiles essentielles, raphia, gomme arabique, etc.) répond à l’augmentation de la demande des marchés régionaux.Cette valorisation peut conduire à une dégradation des ressources naturelles renouvelables. Mais elle peut aussi s’inscrire dans le cadre d’une gestion responsable et durable des ressources afin d’assurer la survie des populations, contribuant ainsi, et parfois de façon décisive, au développement économique local.C’est sur ces deux points que les recherches menées dans le cadre du projet Gesforcom – Gestion forestière communautaire et communale à Madagascar, au Niger et au Mali - se sont concentrées durant cinq ans. Sur la base des résultats de ces recherches, l’ouvrage présente comment il est possible de répondre à la demande tout en mettant en place les conditions d’une gestion durable en application des législations forestières des trois pays. Le tome 1 est axé sur les résultats obtenus par pays : « Les expériences nationales (Madagascar, Niger, Mali) ». Il est édité en deux volumes.Le tome 2 est axé sur les résultats obtenus en termes de comparaisons entre les différentes filières ou thématiques étudiées entre les trois pays : « Comparaisons inter-pays (Madagascar, Niger, Mali) ». (résumé editions Cirad)coordinateurs scientifique : Pierre Montagne - Alain Bertrand Read more
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  Cultiver la biodiversité pour transformer l'agriculture

  12/04/2013 Hainzelin, Etienne

  Comment la biodiversité végétale cultivée peut-elle contribuer à la transformation, et à « l’écologisation» de l’agriculture des pays du Sud ? Issues de nombreux travaux de terrains dans les pays du Sud, des avancées scientifiques multiples sont présentées dans tous les domaines qui touchent l’agriculture (agronomie, amélioration des plantes, protection des plantes, systèmes de cultures, etc.), afin d’intensifier les processus écologiques dans les parcelles cultivées et à l’échelle des paysages ruraux Read more
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  Mines et environnement en Nouvelle-Calédonie

  15/02/2013 L'Huillier L. Jaffré T. Wulff A. Lebrun M Maggia L Barré N Chazeau J. Jourdan H. Amir H. Ducousso M Gateblé G Fogliani B. Zongo C Vea C.

  Mines et environnement en Nouvelle-Calédonie : les milieux sur substrats ultramafiques et leur restaurationLes substrats ultramafiques - ou terrains miniers - à l'origine du minerai de nickel, couvrent près du tiers de la Nouvelle-Calédonie, qui se place parmi les premiers producteurs de ce métal dans le monde. Mais l'exploitation minière à ciel ouvert nécessite d'importants décapages qui génèrent des problèmes d'érosion des sols, de dérèglement des débits hydriques, de pollution des cours d'eau et de perte de biodiversité. Ces substrats datant de 37 millions d'années portent une flore riche et originale, qui a largement contribué au classement de la Nouvelle-Calédonie comme un des principaux hotspots de biodiversité de la planète. Elle comprend environ 2150 espèces végétales dont 82 % sont endémiques. Ces espèces sont en outre spécialisées, adaptées à des sols très pauvres en plusieurs éléments nutritifs et inversement très riches en magnésium, en nickel et en d'autres métaux. Ces milieux abritent également une faune d'une grande diversité. Ainsi la Nouvelle-Calédonie est confrontée à un double défi : celui d'exploiter une ressource minière considérable à même d'assurer au pays un développement économique important, et celui de protéger cette biodiversité exceptionnelle au nom des principes fondamentaux édictés mondialement. Dans ce contexte, la conservation des milieux abritant la plus grande part de la biodiversité, ainsi que la restauration des sites dégradés par l'exploitation minière s'imposent comme des nécessités incontournables. L'ouvrage décrit et illustre tout d'abord la variété des substrats ultramafiques, ainsi que la diversité des écosystèmes et de leurs composantes floristiques, zoologiques et microbiologiques. Le concept de restauration écologique des sites dégradés et les moyens nécessaires pour sa mise en oeuvre sont ensuite développés ; puis les modes de collecte, de germination, de conservation des semences et de production de plants d'espèces locales sont décrits, de même que les méthodes de revégétalisation. Enfin près de 100 espèces végétales utiles pour la restauration sont présentées. Cet ouvrage est destiné à un large public, allant des professionnels du secteur minier (sociétés minières, opérateurs de la revégétalisation, bureaux d'étude...) aux personnels des collectivités impliquées dans la gestion du patrimoine minier et biologique du pays, ainsi qu'aux scientifiques, enseignants, étudiants, et plus largement à toute personne intéressée par les terrains miniers et leur gestion environnementale Read more
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  La biodiversité des îles de l'Océan Indien : colloque de restitution

  26/11/2012 Le Roux Xavier

  Le colloque de restitution de l'appel à projets lancé en 2007 par l'IFB, le CNRS et l'AIRD sur la biodiversité des îles de l'Océan Indien s'est déroulé le 14 et 15 décembre 2011 à l'aquarium du Palais de la Porte Dorée à Paris. A cette occasion sont présentés tous les résultats produits au cours des quatres derniers années par la FRB. Ce colloque est non seulement l'occasion de présenter des résultats mais aussi de replacer dans un contexte plus large, de favoriser leur transférabilité à d'autres contextes et d'autres régions, et de les mettre en regard de nouvelles questions et de nouveaux enjeux. Read more
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  Les Mahots des Mascareignes : bases de connaissances sur les Dombeyoidaeae des Mascareignes

  01/09/2014 Timothé Le Péchon, Laurence Humeau, Luc Gigord,

  L’Archipel des Mascareignes, et plus particulièrement l’île de La Réunion, du fait de sa topologie  montagneuse, abrite une exceptionnelle diversité de formations naturelles végétales, et est inclus au  sein d’un des « points chauds » de la biodiversité mondiale. Cette richesse biologique originale et  son organisation en une multitudes d’écosystèmes, au-delà des remarquables paysages des « pitons,  cirques et remparts », a été un argument décisif dans le classement, par l’Unesco, de La Réunion au  patrimoine mondial de l’humanité. Dans  ce  contexte,  les  Dombeyoideae  ou  Mahots,  groupe  emblématique  de  La  Réunion  et  des Mascareignes, se  caractérisent  par  une richesse  exceptionnelle  avec  30  taxons  et  95% d’espèces  endémiques, et une importance écologique indéniable (la forêt de Bois de couleur des hauts de La  Réunion abrite à elle seule sept espèces de Mahots).  Cependant, au dire des botanistes et des écologistes, ce groupe se trouve être très mal connu pour ne pas dire très mal compris.Cet ouvrage a pour objet de présenter un état des lieux sur ce groupe. Le travail fondamentalement botanique  s’appuie  sur  une  étroite  collaboration  entre  biologistes  et  informaticien  et  l’approche adoptée se veut innovante, alliant techniques moléculaires et outils d’aide à la systématique assistée par ordinateurs (SAO). Read more