Reportages vidéo

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  Lutte contre le grand gecko vert de Madagascar

  05/11/2014

  Le grand gecko vert de Madagascar, Phelsuma grandis, a été introduit dans les milieux naturels de La Réunion au milieu des années 1990. C’est un grand gecko diurne, arboricole et territorial tant envers ses congénères que vis à vis des autres espèces du genre Phelsuma. À La Réunion, il est actuellement connu dans des milieux naturels dégradés (vergers, savanes) et urbanisés (jardins, parcs). Il constitue une menace pour la faune indigène, notamment pour les geckos endémiques (Phelsuma inexpectata et Phelsuma borbonica). En effet, en plus d'être un concurrent pour l’espace et les ressources alimentaires, le gecko de Madagascar est un prédateur et un vecteur de maladies et de parasites potentiel.P. grandis peut coloniser certains milieux naturels. Aussi, les introductions intentionnelles et accidentelles contribuent à sa diffusion sur l’île. À ce jour, il n’a pas été recensé dans les milieux indigènes, mais à long terme, il pourrait coloniser les forêts préservées de basses et moyennes altitudes.Pour plus d’information, consultez www.especesinvasives.re
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  Edwin, guide à la réserve spéciale d'Andasibe - Madagascar National Parks

  05/11/2014

  Découvrez les enjeux du métier de guide de Parc national ou réserve spéciale à Madagascar... En savoir + sur les parcs nationaux à Madagascar, sur Madagascar National Parks.
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  Eric Rivière, spécialiste des espèces végétales réunionnaises au Cirad

  17/06/2013

  Eric Rivière arpente forêts et ravines, à la recherche des plantes indigènes ou endémiques de l’île ou de leurs ennemis : les exotiques envahissantes. Son métier : assistant de recherche au Cirad sur les écosystèmes forestiers, en lien permanent avec les équipes de l’Office National des Forêts (ONF) et du Parc national. Il a travaillé plusieurs années, avec le chercheur Jean-Michel Sarrailh sur l’écologie de la germination des espèces réunionnaises. Ces recherches permettent aujourd'hui aux pépiniéristes de produire des plants d'arbustes indigènes. Ces plants ont servi à "végétaliser" la route des Tamarins et plus récemment à restaurer la forêt semi-sèche de la Réunion (projet Life +, coordonné par le Parc National de la Réunion).
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